Solaris 183
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ParJean-Louis Trudel (Auteur), Mario Tessier (Auteur), Geneviève F. Goulet (Auteur), Philippe-Aubert Côté (Auteur), Guillaume Bourque (Auteur), Romain Benassaya (Auteur), Luc Dagenais (Auteur), Steve Stanton (Auteur), Martin Hébert (Auteur)
Livre numérique
- Éditeur québécois
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SOMMAIRE LES FICTIONS : Prix Solaris 2012 – « Le Jardin des derniers humains », de Jean-Lous Trudel ; « Aux frontières de l'impossible », de Mario Tessier ; « Petit Poucet en salade », de Geneviève F. Goulet ; « Le Disséminateur », de Philippe-Aubert Côté ; « L'Étrange Cas du 234, Joseph-Bouchette », de Guillaume Bourque ; « Les Amants liquides », de Romain Benassaya ; « Les Dieux pure laine », de Luc Dagenais ; « Une parfaite correspondance », de Steve Stanton. LES ARTICLES : Des origines aux livres-univers, de Martin Hébert ; Le Thérémine, ou la première musique électronique, de Mario Tessier. LES CHRONIQUES : Lectures ; Lectures (bis) ; Sur les rayons de l'imaginaire ; Sci-néma.
Table des matières
| Solaris 183 | 1 |
|---|---|
| Sommaire | 3 |
| Éditorial | 5 |
| Prix Solaris 2012 : Le Jardin des derniers humains, de Jean-Louis Trudel | 9 |
| Aux frontières de l'impossible, de Mario Tessier | 31 |
| Petit Poucet en salade, de Geneviève Goulet | 45 |
| Le Disséminateur, de Philippe-Aubert Côté | 47 |
| L'Étrange Cas du 234, Joseph-Bouchette, de Guillaume Bourque | 51 |
| Les Amants liquides, de Romain Benassaya | 61 |
| Les Dieux pure laine, de Luc Dagenais | 75 |
| Une parfaite correspondance, de Steve Stanton | 91 |
| Des origines aux livres-univers, de Martin Hébert | 105 |
| Le Thérémine, ou la première musique électronique, de Mario Tessier | 127 |
| Les Littéranautes | 145 |
| Lectures | 150 |
| Lectures (bis) | 163 |
| Sur les rayons de l'imaginaire | 167 |
| Écrits sur l'imaginaire | 179 |
| Sci-néma | 181 |
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Biographies des auteurs
À propos de Jean-Louis Trudel
Né à Toronto en 1967, Jean-Louis Trudel a aussi vécu à Ottawa, Montréal et Sudbury, mais il est maintenant établi dans la ville de Québec. Après avoir complété des études en physique (baccalauréat) et en astronomie (maîtrise), il s’est consacré à l’histoire et à la philosophie des sciences et des techniques, obtenant une maîtrise de l’Université de Toronto et un doctorat de l’UQÀM. Auteur, traducteur et critique, il publie sur l’histoire de la science-fiction au Canada francophone depuis 1995 en contribuant à des ouvrages parus au Canada, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France, dont The Encyclopedia of Fantasy (1997), le Dictionary of Literary Biography (2002), le Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec (2011), le Dictionnaire des revues littéraires au vingtième siècle (2014) et de nombreux volumes de L’Année de la science-fiction et du fantastique québécois. Membre du comité scientifique de la revue savante « ReS Futurae » qui porte sur la science-fiction francophone, il est professeur à temps partiel au département d’histoire de l’Université d’Ottawa et membre associé du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie. Comme écrivain, il a signé 28 ouvrages (sous son propre nom), soit deux romans de science-fiction, deux recueils de nouvelles et 24 livres pour jeunes, ainsi qu’une centaine de nouvelles en français et en anglais. En collaboration avec Yves Meynard sous le nom de Laurent McAllister, il a aussi fait paraître trois romans de fantasy pour jeunes, un recueil et le roman Suprématie (2009). Sa production lui a valu plusieurs distinctions, dont le Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois (aujourd’hui appelé le Prix Jacques-Brossard), le prix Solaris (trois fois) et plusieurs prix Aurora et Boréal.
À propos de Mario Tessier
Mario Tessier est bibliothécaire-conseil. Il a écrit dans des revues scientifiques (Astronomie-Québec, Québec-Science). C’est aussi un invité régulier de Solaris où il a publié, outre ses articles, plusieurs fictions remarquées, comme « Du clonage considéré comme un des beaux-arts », Prix Solaris 2003 (n° 146), « Poussière de diamant » (n° 151), « Grains de silice » (n° 170), « Le Docteur Épouvante entre le Marteau et L’Enclume » (n° 178), une nouvelle parodique sur les superhéros, etc.
À propos de Geneviève F. Goulet
Il y a un peu plus de vingt ans, une sorcière a éternué sur le berceau de cette jeune dame. Dans les particules éjectées de l’horrible nez flottaient deux malheurs qui s’abattirent sur le petit front : Geneviève sera distraite et brouillon. Fort heureusement, sa fée marraine voletait par-là, mais son pouvoir ne lui permit pas de contrecarrer les sorts. Ses mains bleues octroyèrent finalement un don ultime à l’enfant : elle inventera des histoires. Ainsi, depuis qu’elle est en âge de parler, Geneviève raconte. Elle est bien sûr distraite et brouillon, mais c’est simplement parce qu’elle pense toujours à de nouvelles aventures et à de nouveaux personnages.
À propos de Philippe-Aubert Côté
Philippe-Aubert Côté est originaire de Chicoutimi et découvre la science-fiction au primaire avec les romans de H. G. Wells et de Robert Louis Stevenson. Après des études en biologie à l’Université Laval et à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), il effectue un doctorat en bioéthique à l’Université de Montréal, avec pour sujet de thèse les nanotechnologies. Profitant de son séjour dans la métropole pour élargir son exploration de la science-fiction à la bande dessinée, aux mangas et aux films d’animation, il participe en 2007 à un atelier d’écriture donné par Élisabeth Vonarburg. L’activité constitue pour lui une révélation et aboutit, l’année suivante, à la publication de sa première nouvelle dans les pages de Solaris (« Le Premier de sa lignée », 2008). S’ensuivent plusieurs textes remarqués, notamment la novella « Pour l’honneur d’un Nohaum » (prix Aurora-Boréal 2011 de la meilleure nouvelle) et le diptyque de science-fiction Le Jeu du Démiurge (prix Aurora-Boréal 2016 du meilleur roman). Désireux d’explorer d’autres genres de l’imaginaire, Philippe-Aubert Côté réside actuellement à Montréal, où il prépare ses prochains romans.
À propos de Guillaume Bourque
Né à Montréal en 1980, Guillaume Bourque a été bassiste de la formation Abolish, qui a enregistré une chanson sur une cassette TDK dans le sous-sol de Steve Turcotte, en 1992. Il est aussi auteur d’articles, de récits et de poèmes. Ses textes ont été publiés dans différentes revues, dont Estuaire et Zinc.
À propos de Romain Benassaya
Romain Benassaya est né en 1984 à Nice, en France. Après des études de philosophie et de linguistique, il commence une carrière dans l’enseignement. Il est aujourd’hui professeur de français dans une université de Bangkok. Amateur de science-fiction et de fantastique, il n’a eu de cesse d’inventer et écrire des histoires depuis son enfance.
À propos de Luc Dagenais
Originaire de Hull (maintenant Gatineau), Luc Dagenais habite à Montréal depuis une vingtaine d’années. Après avoir occupé divers emplois, et fait des études universitaires en cinéma et en histoire de l’art, il est aujourd’hui archiviste de profession. Sa nouvelle « La Vie des douze Jésus » lui a valu le prix Solaris 2009, et l’ensemble de sa production 2012 d’être finaliste au prix Jacques-Brossard.
À propos de Steve Stanton
Steve Stanton occupe le poste de président de SF Canada, l’association bilingue des professionnels de la fiction spéculative au Canada. Ses nouvelles ont été publiées dans seize pays et traduits dans une douzaine de langues. Sa trilogie de science-fiction The Bloodlight Chronicles est publiée par ECW Press à Toronto. www.stevestanton.ca
À propos de Martin Hébert
Martin Hébert est titulaire d’un doctorat en anthropologie de l’Université de Montréal.
Professeur d’anthropologie à l’Université Laval depuis 2003, il est l’auteur de plus d’une
centaine de publications scientifiques sur le thème des imaginaires sociaux. Il prolonge les
réflexions entreprises dans ses recherches anthropologiques par une chronique intitulée
« Nous, on fabrique des mondes » sur les ondes de CKIA, par l’édition du zine Fictions
anthropologiques et par l’écriture de nouvelles de science-fiction.



















